Oui, vous pouvez faire cela par (au moins) deux méthodes :
1. Verser un loyer à la SCI, au prix du marché correspondant au bien que vous occupez. Auquel cas les apports des associés pourront être effectués en capital
2. Créer la société avec un capital faible, financer l’acquisition par apports en comptes courants, et rémunérer ces comptes courants, au taux du marché là encore, donc entre 3 et 4% actuellement.
Dans le 1er cas vous générez des revenus fonciers pour les associés (dans le cas d’une SCI transparente), dans le second vous générez des revenus mobiliers (désormais imposables à l’IR). Et vous pouvez cumuler les deux solutions, sachant bien entendu que pour pouvoir rémunérer effectivement les comptes courants la société doit recevoir un financement, soit sous forme de loyer soit de compte courant que vous alimenterez vous-même.
La 2e solution n’offre cependant aucune garantie aux associés prêteurs quand au rythme de remboursement des fonds prêtés. Et dans les deux cas, le versement des liquidités dépendant du gérant, les minoritaires n’auront aucune garantie de les percevoir réellement.
Oui, vous pouvez faire cela par (au moins) deux méthodes :
1. Verser un loyer à la SCI, au prix du marché correspondant au bien que vous occupez. Auquel cas les apports des associés pourront être effectués en capital
2. Créer la société avec un capital faible, financer l’acquisition par apports en comptes courants, et rémunérer ces comptes courants, au taux du marché là encore, donc entre 3 et 4% actuellement.
Dans le 1er cas vous générez des revenus fonciers pour les associés (dans le cas d’une SCI transparente), dans le second vous générez des revenus mobiliers (désormais imposables à l’IR). Et vous pouvez cumuler les deux solutions, sachant bien entendu que pour pouvoir rémunérer effectivement les comptes courants la société doit recevoir un financement, soit sous forme de loyer soit de compte courant que vous alimenterez vous-même.
La 2e solution n’offre cependant aucune garantie aux associés prêteurs quand au rythme de remboursement des fonds prêtés. Et dans les deux cas, le versement des liquidités dépendant du gérant, les minoritaires n’auront aucune garantie de les percevoir réellement.