Peu importe l’historique de la société et des associés, la situation est la même dès que toutes les parts sont réunies en une seule main.
En pratique, « tout intéressé » ça va être personne tant que vous ne rencontre aucun problème, mais ça peut vite se transformer en n’importe qui au moindre accroc. Par exemple un créancier qui voudrait saisir l’immeuble, et qui préférerait le faire directement plutôt que par l’intermédiaire de vos parts. Ça peut aussi être le fisc, qui pour une quelconque raison préférerait que vous soyez détenteur en direct.
La solution classique pour contourner le problème, c’est de céder un nombre symbolique de parts à un tiers, conjoint ou enfants par exemple (les enfants c’est plus sûr).
Peu importe l’historique de la société et des associés, la situation est la même dès que toutes les parts sont réunies en une seule main.
En pratique, « tout intéressé » ça va être personne tant que vous ne rencontre aucun problème, mais ça peut vite se transformer en n’importe qui au moindre accroc. Par exemple un créancier qui voudrait saisir l’immeuble, et qui préférerait le faire directement plutôt que par l’intermédiaire de vos parts. Ça peut aussi être le fisc, qui pour une quelconque raison préférerait que vous soyez détenteur en direct.
La solution classique pour contourner le problème, c’est de céder un nombre symbolique de parts à un tiers, conjoint ou enfants par exemple (les enfants c’est plus sûr).