Dans ce cas :
– à l’IR la totalité des travaux est déductible, et peuvent le cas échéant constituer un déficit foncier reportable
– à l’IS ils sont aussi déductibles, mais ils constituent alors des immobilisations qui doivent donc être amorties sur leur durée d’utilisation.
Compte-tenu de l’importance des travaux l’intérêt d’opter pour l’IS serait moindre, et ce d’autant plus si vous attendez un taux d’imposition marginal faible lorsque vous serez à la retraite (pour autant que l’on puisse avoir une quelconque visibilité sur cet horizon).
L’option pour l’IS peut cependant rester intéressante, notamment si le rendement du bien est élevé, et donc si le coût des travaux est rapidement absorbé par les loyers, et que par ailleurs vous êtes actuellement sur de hautes tranches d’imposition. Il conviendrait donc de faire une simulation des éléments financiers sur une longue période pour pouvoir comparer précisément les deux scénarios.
Dans ce cas :
– à l’IR la totalité des travaux est déductible, et peuvent le cas échéant constituer un déficit foncier reportable
– à l’IS ils sont aussi déductibles, mais ils constituent alors des immobilisations qui doivent donc être amorties sur leur durée d’utilisation.
Compte-tenu de l’importance des travaux l’intérêt d’opter pour l’IS serait moindre, et ce d’autant plus si vous attendez un taux d’imposition marginal faible lorsque vous serez à la retraite (pour autant que l’on puisse avoir une quelconque visibilité sur cet horizon).
L’option pour l’IS peut cependant rester intéressante, notamment si le rendement du bien est élevé, et donc si le coût des travaux est rapidement absorbé par les loyers, et que par ailleurs vous êtes actuellement sur de hautes tranches d’imposition. Il conviendrait donc de faire une simulation des éléments financiers sur une longue période pour pouvoir comparer précisément les deux scénarios.